Antabuse en ligne
Le 10 avril 2017, les citoyens du Canada ont eu l’occasion d’exprimer leur point de vue en votant par référendum sur la question suivante : « De plus, nous croyons que le droit des peuples autochtones du Canada à l’autodétermination est une pierre angulaire de la survie et du développement de notre pays. » L’objectif de la campagne de la société civile « Notre droit à la vie », qui a été menée pendant le référendum, était de demander aux citoyens canadiens de rejeter les politiques de la « loi 99 » qui légalisent le développement de l’exploitation des hydrocarbures et qui affaiblissent les droits de la population autochtone. Cette campagne a été soutenue par 21 organisations non gouvernementales et s’est déroulée en 7 langues : anglais, espagnol, français, arabe, chinois et indigène.
Au Canada, le peuple est considéré comme étant les peuples autochtones du pays. En fait, dans la Constitution canadienne, on affirme que le Canada est une fédération de peuples qui vivent au sein des territoires autochtones traditionnels. Dans cet article, nous nous intéresserons aux peuples autochtones et aux peuples non autochtones, à la façon dont ils sont perçus et à la façon dont les gouvernements traitent leurs droits et leur culture. Les peuples autochtones du Canada sont les descendants des premiers habitants de ce territoire. Ils sont définis comme « les personnes qui ont vécu sur le territoire canadien avant le 17 avril 1987 » (définitions de « peuples autochtones »). Le territoire du Canada s’étend sur 9 provinces et 3 territoires. Au Canada, les peuples autochtones représentent environ 4,3 % de la population. Ces populations se composent de 500 000 Autochtones, 71 000 membres de Premières Nations et 34 000 Inuits ; 5 000 sont membres des Métis. L’Inuit est la première langue parlée dans l’ensemble du Canada, tandis que les langues autochtones sont parlées par les Inuits et les Inuvialuits, les Métis et les Premières Nations. Les Autochtones comprennent également les Inuits du Canada et les peuples autochtones des Amériques. Le recensement de 2011 dénombre 15 143 Autochtones qui vivent au Canada. La majorité (54 %) des Autochtones ont des ancêtres autochtones et 70 % d’entre eux vivent dans des réserves.
Les peuples autochtones du Canada ont souffert de la colonisation et de la traite des esclaves. L’histoire des Autochtones du Canada remonte à plusieurs milliers d’années, et les peuples autochtones étaient présents dans ce territoire dès la préhistoire, mais leur culture et leur mode de vie sont aujourd’hui menacés par la colonisation et par le commerce des esclaves. Les traités modernes et les lois de libre accès sont la conséquence de la colonisation, mais les Autochtones n’acceptent toujours pas ces normes.
Au Canada, les peuples autochtones ont des droits et des responsabilités qui ne sont pas reconnus par la Constitution du Canada. Au Canada, la loi de 1985 sur les droits de la personne prévoit que tous les Canadiens ont droit à un « consentement libre et éclairé » avant d’être soumis à la procédure d’examen des effets juridiques des lois ou des politiques. Cette loi interdit également la discrimination contre les personnes handicapées et garantit des « droits à la vie privée » pour tous. La loi sur les services à l’enfance et à la famille, qui a été adoptée en 1987, établit des normes nationales de protection des enfants et des jeunes et prévoit le droit de bénéficier d’un « droit d’accès » à un « lieu sûr » pour toute personne soupçonnée d’avoir commis un crime. Ce droit a été remplacé en 1991 par le droit à la vie privée et au droit de ne pas être torturé. Le 19 juin 1995, les droits à la vie privée et à la vie familiale ont été réaffirmés par le Parlement. La loi sur le droit de vote garantit également le droit de vote des Autochtones. Cette loi interdit la discrimination fondée sur le sexe, la race, la religion, la langue, l’origine ethnique, l’orientation sexuelle ou l’âge, et garantit le droit de participer aux élections en tant que « votant ».
En 1977, la Convention relative aux droits de l’enfant des Nations Unies, adoptée en 1989, est entrée en vigueur au Canada. Dans cet instrument, les enfants et les jeunes ont été protégés contre la violence et ont été éduqués à la paix et à la non-violence. La loi sur les services à l’enfance, à la famille et à la communauté protège également les droits des enfants et des jeunes dans les établissements et les foyers correctionnels. La loi sur les services correctionnels garantit aux détenus le droit de rencontrer leurs avocats et de recevoir des visites d’un juge. Au Canada, les droits des peuples autochtones sont garantis par la Charte canadienne des droits et libertés, qui garantit notamment le droit à l’égalité, la liberté de religion, le droit à la vie, à la liberté de la personne, à la sécurité, à la dignité humaine et à la justice. En 1998, la Cour suprême du Canada a confirmé le droit des Autochtones à l’autodétermination. Cette loi reconnaît le droit inhérent aux Autochtones à l’autonomie gouvernementale. En 2010, la loi sur les services à l’enfance et à la famille a été révisée pour y inclure les obligations en matière de protection de l’enfance. Cette loi reconnaît le droit à la vie et à la sécurité des enfants et des jeunes.
La Loi sur les droits de la personne, qui est la loi sur les services à l’enfance et à la famille, stipule que les enfants et les jeunes autochtones ont droit à la vie et à la sécurité. Le Code pénal interdit le recours à la torture, à la violence, à la coercition ou à l’intimidation pour contraindre autrui à accomplir des actes sexuels. La loi sur les droits de la personne est une loi de protection des victimes de la traite, y compris les enfants et les jeunes autochtones. En 2002, la Convention no 111 relative à la protection des personnes handicapées a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies. Cette convention garantit aux personnes handicapées le droit de participer à la vie de la société, en particulier dans les domaines de l’éducation, de l’emploi et des soins de santé. Cette convention est entrée en vigueur au Canada en 2009.
La Loi sur les services à l’enfance et à la famille garantit la protection des enfants et des jeunes autochtones qui sont victimes de la traite et de l’exploitation sexuelle. Cette loi protège les enfants et les jeunes autochtones contre la violence et la maltraitance et prévoit des mesures de protection et de réinsertion. La loi sur les services à l’enfance et à la famille interdit les pratiques traditionnelles préjudiciables, y compris le mariage des enfants, les mutilations génitales féminines et le travail forcé. La Loi sur la protection des enfants et des jeunes est un instrument important qui permet aux enfants autochtones de prendre part à la société canadienne. Cette loi garantit que les enfants autochtones sont protégés contre les abus et la maltraitance.
En 2006, la Loi sur le développement des ressources énergétiques a été adoptée au Canada. La loi sur le développement des ressources énergétiques prévoit le financement d’investissements dans les infrastructures pour l’extraction de sables bitumineux et d’autres ressources. La loi sur le développement des ressources énergétiques reconnaît que les Autochtones sont le premier peuple à avoir tiré parti des ressources énergétiques. Cette loi prévoit des mesures pour préserver les droits de la population autochtone. Cette loi garantit aux peuples autochtones le droit de participer à la vie économique, culturelle, éducative et politique de la société canadienne.
En 1996, le gouvernement du Canada a adopté la Convention internationale relative aux droits des enfants. Cette convention, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies, exige des gouvernements qu’ils prennent des mesures concrètes pour promouvoir et protéger les droits des enfants. La Convention reconnaît le droit de vivre librement, de jouir du meilleur état de santé possible, de s’améliorer et de participer aux activités culturelles, ainsi que le droit de vivre en famille et en communauté. En 1998, la loi sur la protection de la jeunesse est entrée en vigueur au Canada. Cette loi garantit la protection des enfants et des jeunes autochtones contre la violence et la maltraitance, ainsi que contre la négligence et l’exploitation. La loi sur la protection de la jeunesse est un instrument important qui permet aux enfants et aux jeunes autochtones de prendre part à la vie économique, culturelle, éducative et politique de la société canadienne. Cette loi garantit que les enfants et les jeunes autochtones sont protégés contre les abus et la maltraitance, ainsi que contre la négligence et l’exploitation.
En 1981, la loi sur les services correctionnels a été adoptée au Canada pour protéger les jeunes contre la négligence. Cette loi garantit la protection des jeunes contre la négligence et la maltraitance. Cette loi garantit la protection des jeunes contre la violence, l’exploitation, la maltraitance et la négligence.
Cette information est fournie à titre indicatif seulement. Veuillez consulter votre médecin, votre pharmacien ou tout autre professionnel de la santé pour obtenir des conseils personnalisés. Il est important de comprendre que cette information est fournie à titre informatif seulement et que vous devriez consulter un professionnel de la santé avant d’entreprendre un programme de perte de poids, un programme d’exercice ou tout autre programme de remise en forme.
Les informations et les produits mentionnés sont fournis à titre d’information uniquement. Aucune des informations présentées ne constitue un avis médical. Les professionnels de la santé peuvent vous fournir une évaluation personnelle et vous recommander la meilleure façon d’atteindre vos objectifs en matière de remise en forme ou de perte de poids. Si vous avez des questions ou des préoccupations au sujet de votre santé ou si vous avez des réactions indésirables aux produits que vous avez utilisés, vous devriez consulter un professionnel de la santé avant de les utiliser.
Le contenu de ce site est uniquement à des fins d’illustration et ne remplace en aucune manière les conseils de votre médecin, de votre pharmacien ou de tout autre professionnel de la santé.
Cette information n’est pas destinée à fournir des conseils médicaux, diagnostiques ou thérapeutiques, et ne peut pas être utilisée pour le diagnostic ou le traitement d’un état pathologique, ni comme un substitut à une visite chez votre médecin.
Ce site est destiné uniquement à des fins d’information et de communication. Nous nous réservons le droit de modifier notre contenu à tout moment, sans préavis. En conséquence, vous devriez consulter régulièrement cette page pour connaître les modifications apportées aux informations publiées sur ce site.
S’il vous plaît aidez-nous en partageant vos commentaires avec nous!
Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous aider à nous améliorer chaque fois que nous publions du contenu et à nous faire part de vos suggestions et de vos commentaires. Veuillez nous envoyer vos commentaires à: contact@tabute.